Regarder une oeuvre sous microscope permet d’observer la matière et de voir des éléments invisibles à l’oeil nu. Cela constitue une aide indispensable à la compréhension des altérations et à l’établissement d’un diagnostic, c’est-à-dire l’étude des causes des altérations, afin de concevoir un traitement adapté aux problématiques rencontrées sur l’oeuvre.
Les photographies ci-dessous ont été réalisées avant la restauration de La Créole au perroquet (130 x 97,5 cm, peinture à l’huile sur toile, vers 1910, musée des Beaux-Arts d’Angers) d’Alexis Merodack-Jeaneau.